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Mon parcours


Partie 1 : La découverte de mes capacités.


Toute ma vie j’ai été baignée dans le milieu ésotérique.

Les femmes de ma famille maternelle pratiquaient le pendule, les cartes, l’écriture intuitive, le magnétophone, le verre …

Tout cela me semblait tellement passionnant et surtout normal.

Des actes qui sont pourtant issue de capacités travaillées mais innées.

Je reconnais ma chance. Pouvoir pratiquer moi-même aujourd’hui ce genre de chose pour accompagner les personnes qui ont besoin de soutien est un réel cadeau de la vie.

 

J’avais le savoir faire sans connaître comment le faire. Je ne pouvais pas l’expliquer. C’est quelque chose qui fait parti de moi.

Je me souviens que lorsque j’avais 8 ans, j’ai pris un cahier et un stylo, et j’ai voulu moi aussi essayer d’écrire avec ma famille défunte. Le premier défunt qui est venu et qui ma aidé dans le développement de mes capacités : c’est ma grand-mère paternelle. Je ne l’ai jamais connu de son vivant malheureusement. Mais grâce à mes capacités je peux communiquer avec elle lorsqu’elle est accessible.

 

Durant l’adolescence, les capacités se mettent en sommeil pour nous laisser grandir et nous construire. Elles reviennent dès que c’est possible. Pour ma part j’avais 16 ans.

Période du lycée…

Ce fut un Grand changement pour moi.

Le lycée étant à plusieurs kilomètres de chez moi, j’ai dû prendre le bus, manger à la cantine. Ce qui semble quelque chose de tellement banal mais je l’ai très mal vécu.

 

Je suis une personne très introvertie, timide, j’ai eu beaucoup de difficultés à m’intégrer.

Chaque matin était une épreuve pour m’y rendre. Il y a des jours où je fuyais… submergée par l’angoisse.

Parfois, je trouvais refuge chez mes grands-parents, ou chez mon amoureux. Quelques fois, dès mon arrivée au lycée, je rappelais mes proches pour qu’ils viennent me chercher. Tous les moyens étaient bons pour me défiler et fuir cet endroit une journée entière.

 

J’ai toujours adoré aller à l’école, et ces ressentis étaient nouveaux. Je ne comprenais pas comment je pouvais être dans cet état.

 

Crises d’angoisses, crises de larmes, mal être, sentiment d’être perdue au milieu de toutes ces personnes, la cantine… l’agitation qui y régnait.

 

Aujourd’hui le mot qui est posé sur ces symptômes en lien avec l’école est la phobie scolaire.

 

Je renvoyais une mauvaise image de moi. Les professeurs me prenaient pour une mauvaise élève, fainéante, qui ne voulait rien faire. Selon eux, je ne ferai rien de ma vie.

 

A chaque retour au lycée après une absence plus ou moins longue, je récupérais tous les cours. J’avais la chance d’avoir de belles personnes à mes côtés. Contre toute attente, j’ai réussi à obtenir mon Bac, puis j’ai réussi le concours d’entrée à l’école d’infirmière.

Le soutien de mes proches à été primordial.

 

C’est durant ces années lycée que mes capacités ont commencé à revenir.

En effet, elles étaient présente au cours de mon enfance. Hypersensible de base et très empathique. D’où le fait que j’ai très mal vécu la période du lycée.

 

La clairvoyance a commencé a se manifester par des rêves prémonitoires, puis progressivement, je pouvais dire aux personnes les ressentis que j’avais lorsque nous discutions.

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